Anthony Watts vient de publier sur WUWT une analyse particulièrement intéressante, qui ouvre un nouveau front sur la question de la qualité des mesures de températures. Lisez la suite sur Skyfall…
Anthony Watts vient de publier sur WUWT une analyse particulièrement intéressante, qui ouvre un nouveau front sur la question de la qualité des mesures de températures. Lisez la suite sur Skyfall…
19 avril 2010 à 16:41
Mr. Le Ministre s’exprime :
« Je pense qu’en matière de sécurité aérienne -on est encore sous le choc de la catastrophe de Smolensk (accident d’avion qui à coûté la semaine dernière la vie au président polonais Lech Kaczynski et à 95 autres personnes, ndlr)-, on ne prend jamais assez de précautions », a expliqué Dominique Bussereau. « Il faut bien voir ce que nous disent les gens de la météo (…) les cartes qu’ils nous montrent et ce qu’ils nous disent des nuages n’est quand même pas folichon ! »
Evidemment, c’est imparable.
19 avril 2010 à 16:43
Imparable, en effet !!! 🙂 🙂 🙂
Pas de doute, on est bien gouvernés.
19 avril 2010 à 18:44
Le mieux, serait d’interdire tout transport aérien, ainsi, le risque 0 serait atteint, plus aucun mort…..
Idem pour les trains, puis les bus, les bateaux, les deux roues et les voitures…..
Et là, Ô miracle, plus aucun mort !!!!
Entre le principe de précaution, les déficits divers, etc….. il y a un point commun : nos hommes et femmes politiques sont des pleutres nullissimes.
Désolé pour ce hors-sujet, mais c’est ce mode de fonctionnement (j’ai failli mettre « pensée », mais là, non, ce n’est pas possible),qui explique aussi l’attitude de nos politiques sur le RCA.
19 avril 2010 à 19:55
Marco33, c’est en fait l’inverse de la science…
Le Monde vole… Non, roule au secours de Météo France :
POURQUOI LE RISQUE EST-IL DIFFICILE À ÉVALUER ?
« Les satellites fournissent de très bonnes images du nuage de cendres volcaniques près de sa source, au-dessus de l’Islande. On le voit très nettement se diriger vers la mer du nord. Ensuite, il se confond avec les autres nuages et il devient difficile à repérer », explique Emmanuel Bocrie, de Météo France.
Pour connaître sa trajectoire, les météorologues utilisent des modèles numériques qui, selon la vitesse et l’orientation des vents, calculent le déplacement, horizontal et vertical, des poussières volcaniques, ainsi que leur dilution dans l’atmosphère. Ces prévisions sont réactualisées toutes les six heures.
En revanche, les météorologues ne disposent pas d’instruments d’observation directe de la concentration des particules. Les ballons-sondes qui, deux fois par jour, effectuent des mesures de température, de pression ou d’humidité, ne possèdent pas de capteurs de densité de particules. Or, c’est la concentration de ces particules dans le nuage que les avions doivent traverser pour prendre de l’altitude, puis pour atterrir, qui est cruciale pour la sécurité des vols.
La situation évolue de façon très rapide. « Actuellement, il n’y a pas beaucoup d’apport de poussières volcaniques nouvelles sur la France, en raison de vents faibles, indiquait, lundi en début de matinée, Météo France. Mais cela ne signifie pas que le nuage n’est plus présent. »
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Et voilà le travail : MF ne possède pas d’instruments d’observation directe. Et le LMD non plus ? Je me demande même si ce genre de capteurs, mesurant la pollution particulaire en ville par exemple, simplement existe au 21ème siècle…
Tout se fait à partir de modèles numériques, visiblement gardés secrets des pilotes et compagnies aériennes…
L’autre perle du Monde est bien sûr l’évolution TRES RAPIDE de la situation due aux vents faibles et au manque de nouvelles poussières… 😉
Et pourtant, malgré la débauche informatique, et le démenti cinglant des vols d’essais, le dernier paragraphe montre que Météo France n’a aucune idée de la concentration de cendres et de leur distribution.
19 avril 2010 à 20:38
Depuis je début je me pose cette question:
Comment des modèles numérique fait pour les vents peuvent intégrer les trajectoires de particules qui possèdent une masse non négligeable par rapport à la masse des molécules gazeuses? La composante verticale de leur vitesse n’est pas très adaptée aux modèles météorologiques!
Je suis assez irrité car cette pagaille est indigne d’une civilisation!
19 avril 2010 à 22:54
@ Antonio San
METEO FRANCE : toujours un temps d’avance
Vous êtes sur le site Meteo-France
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Décembre 2009
Du sable chinois a fait le tour du monde en 13 jours
Le sable d’une tempête née dans le vaste désert inhospitalier du Taklamakan (338 000 km2), dans l’ouest de la Chine, a fait le tour de la Terre en moins de deux semaines, selon une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Géoscience.
Les 8 et 9 mai 2007, des vents violents sur le Taklamakan ont soulevé environ 800.000 tonnes de poussière, selon les calculs réalisés à partir d’images satellites et de modèles informatiques. Les particules transportées dans l’atmosphère ne sont pas des grains de sable, trop gros et trop lourds, mais de fines poussières.
La poussière a pris de l’altitude, poussée par le vent sur le contrefort du plateau tibétain, atteignant 5.000 mètres d’altitude.
Un courant d’air chaud a ensuite pris en charge 60% de cette poussière et l’a propulsée à une altitude comprise entre 8.000 et 10.000 mètres.
Au bout de 13 jours, une partie des particules est repassée au-dessus du Taklamakan avant de s’abîmer dans l’ouest de l’océan Pacifique.
Le nuage de poussière mesurait environ trois kilomètres verticalement et plus de 2000 kilomètres horizontalement. Il a été repéré par Caliop, un instrument à bord du satellite d’observation de la Terre Calipso.
« Notre plus grande réussite c’est d’avoir suivi ce nuage de poussière tout au long de son tour complet autour du globe. Après la moitié d’un tour, habituellement la concentration de poussière devient très faible et vous ne pouvez plus suivre le nuage » a précisé Itsushi Uno de l’Institut de Recherche de l’Université de Kyushu pour les Mécaniques Appliquées. « La structure du nuage s’est très bien maintenue parce qu’il se trouvait dans une atmosphère très stable » a indiqué le scientifique japonais.
D’énormes quantités de poussières sont transportées dans l’atmosphère par les vents. On estime que, chaque année, 800 millions de tonnes de poussières désertiques sont charriées dans l’atmosphère et se déposent sur l’ensemble de la planète. Les terres chinoises fourniraient à elles seules près de 30% de ces minuscules débris.
Selon les auteurs japonais de l’étude, les poussières originaires des déserts continentaux d’Asie pourraient jouer un rôle important dans la formation des nuages d’altitude ainsi que pour la fertilisation des eaux du Pacifique Nord. En effet, comme le sable est riche en fer, on suppose qu’il est absorbé par le plancton lui-même mangé par les poissons.
(Avec AFP)
19 avril 2010 à 23:38
Merci Plombier! MF: Toujours un grain de sable… de retard 😉
20 avril 2010 à 00:11
Le Met Office blâmé
L’organisme gouvernemental a été accusé d’utiliser un modèle scientifique basé sur la «probabilité» plutôt que de prévoir la propagation du nuage de cendres volcaniques qui a fait de l’Europe une zone d’exclusion aérienne et ruiné les plans de plus de 2,5 millions de voyageurs dans et hors de la Grande-Bretagne .
http://www.telegraph.co.uk/news/7608722/Volcanic-ash-cloud-Met-Office-blamed-for-unnecessary-six-day-closure.html
Met Office ===> CRU ===> GIEC
20 avril 2010 à 02:44
« Much of the blame was directed at the Met Office’s Volcanic Ash Advisory Centre (VAAC). »
Vaacuum…
20 avril 2010 à 17:37
LES CARENCES DE MONSIEUR HUET
(Libération, Sciences au Carré) :
http://sciences.blogs.liberati……html#more
A force de ne fréquenter que le gotha climatiquement correct du GIEC, les journalistes « scientifiques » exposent leur ignorance lorsqu’ils sont confrontés à un problème réel comme la dispersion du panache de cendres volcanique du volcan Islandais. Lisez plutôt :
« On s’aperçoit avec cette simulation que la densité du nuage évolue d’une manière assez contre-intuitive. Le panache reste en effet relativement dense sur une trainée qui se disperse assez peu sur un trajet qui survole la Mer du Nord pile là où passent les couloirs aériens transatlantiques, frôle le nord de l’Ecosse et vient buter sur le sud de la Norvège et sur le Danemark. Puis, à cet endroit, il se disperse vers l’Est et l’Ouest, la densité de particules chutant brutalement. Autrement dit, le panache a réellement coupé la route habituelle vers l’Amérique du Nord. En revanche la menace était nettement moins forte à l’intérieur du continent. »
Monsieur Huet, grand donneur de leçon à l’occasion démontre son ignorance crasse du sujet. Eh oui, depuis le silence assourdissant des augures climatiques du GIEC, les Huet et autres Kempf sont obligés de voler solo, à vue, sans le pilotage automatique de leur idoles.
Mais voilà, les cendres pour le coup se comportent comme un « traceur » naturel dont la distribution témoigne comme dans un cas d’école de l’influence des Anticyclones Mobiles Polaires qui les propagent. Le concept fut publié en 1993 par Marcel Leroux dans une revue à comité de lecture: “The Mobile Polar High: a new concept explaining present mechanisms of meridional air-mass and energy exchanges and global propagation of palaeoclimatic changes” Marcel Leroux, Global and Planetary Change, 7 (1993) 69-93 Elsevier Science Publishers B V, Amsterdam.
Et c’est un coup dur pour les perturbations idéales qui parsèment les polycopiés du LMD et régissent les prévisions de Météo France : tout se passe comme le montrent les clichés du panache volcanique, en basse couche le long des lignes de flux d’advection d’air froid (panache linéaire) et au front des AMPs, dans le couloir dépressionnaire où la dispersion des cendres est quasi symétrique de part et d’autre de l’axe central. L’animation ESA et celle de l’Université Danoise sont sans appel et montrent clairement que les dépressions latérales ne précèdent pas l’advection d’air froid anticyclonique mais en sont la conséquence. Les fermetures successives des aéroports d’Europe de l’Est et d’Espagne tracent l’élargissement de l’AMP initial. Le second AMP dont le front se déplace actuellement sur les îles Britanniques promet une dispersion similaire des cendres récentes.
Et le pauvre Huet de trouver cela « contre intuitif »… La traînée en question étant en basse couche peut aisément être survolée mon petit Huet ! Elle ne coupe donc pas la route habituelle vers l’Amérique du Nord ! C’est en revanche au front de l’AMP que le nuage cendreux est repris par les ascendances et la s’élèvera.
Au lieu d’attendre plus de 5 jours dans la crise avant de faire des mesures, on aurait d’ailleurs pu s’affairer à établir une représentation en 3D prévisionnelle de la concentration des particules grâce au concept AMP. Bien coordonnée à un niveau européen cette analyse n’aurait pris que 48 heures.
Si les résultats s’étaient avérés satisfaisants, cette recherche aurait rapidement proposé aux décideurs et à l’industrie aéronautique un éventail d’actions adaptées qui aurait minimisé l’impact économique de l’éruption plutôt que de recourir à l’application indiscriminée d’un principe de précaution fourre-tout, coûteux et au fond non déterministe qui ne nous apprend rien en particulier si l’éruption devait se prolonger sur des mois. D’autre part, que les conditions météo demeurent ou bien qu’elles évoluent, la qualité des alertes données en aurait été nettement améliorées.
Une météorologie moderne, appliquée et réactive, réellement dynamique offrirait ainsi aux décideurs des options réalistes immédiatement vérifiables, justifiant ainsi ses crédits de recherche, une sorte de Laboratoire de Climatologie, Risques et Environnement par exemple… celui-là même qui fut soigneusement rayé de la carte l’année dernière.
Mais au lieu de cela, silence !
Les mêmes cassandres qui nous abreuvent de sécheresses et tempêtes à l’horizon 2050 se taisent et préfèrent laisser le soin aux bureaux étrangers de veiller sur le ciel de l’Europe quand il s’agit de prévoir l’évolution à court terme d’un nuage de cendres, au sein de systèmes météorologiques parfaitement compréhensibles et identifiés. On ne parle pas de ce qui fâche et l’AMP fâche encore et toujours si l’on en juge par l’acharnement de certains à défigurer l’héritage du géographe climatologue de Lyon III. Mais voilà ni l’idéologie, ni le corporatisme polytechnicien ne changent la nature et la justesse des déductions de ceux qui savent l’observer.
Le silence des agneaux : l’aveu piteux d’une carence programmée.
Post Scriptum: vue prise par Aqua/MODIS satellite thanks to Ryan N. Maue confirmant la nature basse couche initiale du panache et sa dispersion liée a un AMP 20 avril 2010:
http://rapidfire.sci.gsfc.nasa…..A101091305
20 avril 2010 à 18:08
Le lien correct:
AMP 20 avril 2010:
http://rapidfire.sci.gsfc.nasa.gov/realtime/single.php?A101091305
21 avril 2010 à 00:02
Un Climato sceptique remporte la victoire des données ( pour le prix d’un timbre” )
Dans une décision historique , UK Information Commissioner’s Office a statué que la Queen’s University Belfast doit remettre les données obtenues au cours de 40 années de recherche de 7000 ans d’anneaux de croissance irlandaise a Doug Keenan.
Keenan est devenu célèbre pour une série de différends au vitriol avec des universitaires britanniques sur des données climatiques. Il y a deux ans, il a accusé Phil Jones de l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université de East Anglia de “fraude” sur son analyse des données de stations météorologiques en Chine. Jones a récemment admis qu’il pourrait avoir à réviser le document concerné .
http://www.guardian.co.uk/envi…..ta-victory
21 avril 2010 à 01:40
Ton lien ne marche pas ici plombier. :s
21 avril 2010 à 07:36
Le lien :
http://www.guardian.co.uk/environment/2010/apr/20/climate-sceptic-wins-data-victory
21 avril 2010 à 07:50
@ Clem bizarre il marche sur Skyfall ?
Merci Marot
21 avril 2010 à 07:57
Huet roule pour Jancovici: lui aussi dénonce les medias…
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2010/04/all%C3%A8gre-limposteur-cest-lui-en-librairie.html
22 avril 2010 à 08:03
Bangladeshgate
Climat: une étude met en doute les travaux du Giec sur le Bangladesh
DACCA – Une nouvelle étude publiée jeudi au Bangladesh met en doute les travaux du Groupe intergouvernemental d’experts de l’ONU sur l’évolution du climat (Giec), affirmant que les prévisions alarmistes contenues dans son rapport 2007 sur la hausse du niveaux des eaux sont exagérées.
Le Giec, déjà critiqué pour des erreurs dans son rapport 2007, estime qu’une hausse du niveau de la mer d’un mètre inonderait 17% du Bangladesh et créerait 20 millions de réfugiés d’ici 2050.
Après la publication de cette prévision, le Bangladesh a été unanimement considéré comme l’un des Etats risquant d’être le plus exposé aux conséquences du réchauffement de la planète.
Mais la prévision ne tient pas compte du rôle que pourraient jouer au moins un milliard de tonnes de sédiments, charriés par les rivières de l’Himalaya jusqu’au Bangladesh chaque année, pour contrer la hausse du niveau des eaux, souligne une nouvelle étude financée par la Banque de développement asiatique.
« Les sédiments façonnent les côtes du Bangladesh depuis des milliers d’années », relève Maminul Haque Sarker, directeur du Centre pour les services d’information sur l’environnement et la géographie (CEGIS), basé à Dacca, qui a dirigé les recherches pour cette étude.
De précédentes « études sur les effets du changement climatique au Bangladesh, dont celles citées par le Giec, n’ont pas considéré le rôle des sédiments dans le processus d’ajustement des côtes et rivières à la hausse du niveau de la mer », a-t-il expliqué à l’AFP.
Même si le niveau de la mer monte d’un mètre maximum, la plupart du littoral du Bangladesh restera intact, assure M. Sarker.
« Basé sur les découvertes de l’étude, il apparaît que la plupart du littoral, notamment l’estuaire de Meghna, qui est l’un des plus grands au monde, augmentera au même rythme que celui du niveau de la mer », a-t-il ajouté.
Selon lui, l’étude montre que les phénomènes d’inondation évolueront en raison de la hausse de la montée des eaux, « mais ils seront moins importants que ce qui a été prédit » par le Giec et d’autres études.
AFP / 22 avril 2010
22 avril 2010 à 08:50
Mizaël FAUCON
La mangrove en plus ils en replantent .
Je viens de coller mon commentaire sur le blog de Libé ,on va voir s’il y reste ?
22 avril 2010 à 16:56
Pour l’instant seul le Monde a publié l’article (de AFP )
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/22/climat-les-previsions-du-giec-sur-le-bangladesh-jugees-alarmistes_1340947_3244.html
22 avril 2010 à 19:05
Plombier, un commentaire dans Le Monde:
« Albatus
22.04.10 | 16h24
Ah enfin on recommence à parler un peu de science. Si tous les septiques étaient capables de fournir des faits et chiffres qui méritent ce nom ca serait un grand progrès. Mais je ne me réjouis pas trop vite; je vois venir d’ici les réactions imbéciles qui, saisissant tel le mécis et sauveur de leur mode de vie cette étude, tireront à boulets rouge sur le GIEC et toutes ses conclusions. Bonne nouvelle pour ce pays en tout cas »
Parlons du Messie, Mais si!
22 avril 2010 à 23:11
Antonio San
Réponse au commentaire
Esthete
22.04.10 | 20h37
@Albatus septique s’écrit sceptique méci s’écrit Messie. Ah et si tous les réchauffistes étaient capables d’écrire !
23 avril 2010 à 16:34
Erreur avec le M cette fois c’est la station Eureka, au Nunavut, Canada.
http://wattsupwiththat.com/2010/04/22/dial-m-for-mangled-wikipedia-and-environment-canada-caught-with-temperature-data-errors/
24 avril 2010 à 12:16
Les données du satellite Ibuki ont montré que dans l’hémisphère Nord la concentration de CO2 est élevé au cours de
l’hiver et au printemps alors qu’elle est faible en été en raison
de l’activité de la végétation.
Alors pourquoi il fait froid l’hiver avec +de CO2 , et chaud l’été avec moins de CO2 , dans dans l’hémisphère Nord ?
http://www.gosat.nies.go.jp/index_e.html
ensuite cliquer sur : February 10,2010)
« NIES GOSAT PROJECT NEWSLETTER » page has been released.
puis sur : Feb. 2010 (Issue#2) (PDF:5.6MB)
1 novembre 2018 à 01:26
There’s definately a great deal to know about this subject.
I really like all of the points you made.
14 octobre 2020 à 10:43
daron
M le maudit | Le Mythe climatique